Nous croiserons peut-être la route des derniers migrateurs, comme une Cigogne noire ou un Busard Saint-Martin en retard. Mais notre attention portera surtout sur les nicheurs comme le Tarier pâtre. Nous tendrons l’oreille pour capter le chant rauque de la Fauvette grisette et celui plus mélodieux et si célèbre de l’Alouette des champs. La sortie se terminera par une escale aux étangs de Damphreux pour y observer les habitués du coin sans être à l’abri d’une surprise comme une Huppe fasciée ou un Bruant proyer explorateur.

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